Chaque année, Feldschlösschen participe à plus de 5 000 événements culturels et sportifs en Suisse, soutient de nombreux clubs et associations de toutes tailles et approvisionne 25 000 clients issus de la gastronomie, du commerce de détail et du secteur des boissons. Grâce à ses boissons et à son expertise événementielle, Feldschlösschen rassemble les gens à travers le pays. Les enjeux sociétaux, en particulier la cohésion sociale, ont toujours été au cœur des préoccupations de l’entreprise. Quel est le degré de cohésion en Suisse ? Qu’est-ce qui nous unit en tant que société et où se situent les divisions ? Le premier baromètre sur la cohésion en Suisse se penche sur ces questions. À la demande de Feldschlösschen, l’institut Sotomo a mené en novembre dernier une étude représentative afin de prendre le pouls de la population suisse. Les résultats montrent que pour presque tous les répondants (96 %), la cohésion est une valeur indispensable. Cependant, deux tiers des personnes interrogées estiment actuellement qu’elle est (plutôt) faible, et 83 % la perçoivent en déclin. La perception d’une bonne cohésion varie selon les sensibilités politiques : à gauche, l’acceptation de la diversité est primordiale, tandis qu’à droite, l’identification commune à la nation est perçue comme essentielle.

La démocratie directe, ciment de la société
Les Suisses placent une grande confiance dans la démocratie directe. 71 % des sondés la considèrent comme le facteur le plus important pour renforcer la cohésion sociale. Malgré les polarisations, les votations populaires bénéficient d’une large acceptation (69 %), et 70 % des Suisses sont convaincus que les débats dans le pays sont menés avec respect. La population suisse (79 %), les établissements d’enseignement (78 %) et le système de santé (71 %) jouissent d’un haut niveau de confiance, tandis que les médias (50 %) et les institutions politiques (50 %) en inspirent beaucoup moins.

La communauté commence au quotidien
Le sentiment de cohésion se construit également dans les interactions quotidiennes : 93 % des répondants sont satisfaits de la taille de leur cercle d’amis, et autant déclarent avoir dans leur entourage une personne sur laquelle ils peuvent compter. Toutefois, le sentiment communautaire reste souvent cantonné à la sphère privée – les lieux publics tels que les organisations politiques, les institutions sociales ou même le voisinage jouent un rôle moindre. Le manque d’espaces de rencontre, notamment en milieu rural et suburbain, pourrait être une des raisons de cette absence de lien social dans l’espace public. Pour 81 % des participants à l’étude, se retrouver dans des restaurants, des bars ou lors d’événements est un élément clé du renforcement du tissu social.

Manger et boire ensemble – des rituels suisses qui renforcent la cohésion
Rien ne semble autant favoriser la cohésion que le fait de manger et boire ensemble. 68 % des sondés considèrent ces moments partagés comme un élément fédérateur. Que ce soit autour d’un barbecue (64 %), d’une randonnée (46 %) ou d’une bière entre amis (46 %), ces activités typiquement suisses jouent un rôle clé dans le renforcement du lien social. La bière, en particulier, est perçue comme un moment d’échange et de discussion (67 %), de convivialité et d’amitié (60 %), ou encore de détente après une journée de travail (42 %). 

Feldschlösschen s’engage pour la cohésion sociale
Depuis près de 150 ans, Feldschlösschen rapproche les gens. Les enseignements tirés du baromètre seront exploités pour renforcer cet engagement et continuer à promouvoir la cohésion sociale.

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